La Legende de Durggeddin

Pour claude et ceux qui auraient raté des épisodes ou oublié le pitch de cette aventure



DURGGEDDIN C'EST QUOI ?

Une histoire de nains dans un village hobbit. Avec des humains dedans
et un volcan résidentiel pour dragon en banlieue !




CITATIONS

"les nains peuvent etre obstiné, borné, difficile, méchant et cachotiers. Ils ont les pires manières qu'on puisse imaginer. Mais ils sont aussi courageux, gentil et d'une loyauté sans faille."


"Ne sous estimez pas le pouvoir maléfique de l'or qu'un grand serpent a couvé. Car le mal du dragon envahit le coeur de tous ceux qui s'en approche."




LA LEGENDE DE DURGGEDDIN (Introduction)

Nul ne peut ignorer l’attachement qu’ont les nains, pour les biens matériels en général et le travail bien fait en particulier. Mais celui qui a le privilège de fréquenter cette fière et courageuse race sait aussi que l’attachement naturel peut parfois virer à l’obsession maladive chez certains représentant de l’espèce.

Durggeddin semble avoir été de ceux là. Artisan de génie. L’exceptionnel qualité de ses oeuvres firent sa fortune et sa fierté. Hélas, il semblerait que hanté par une insatiable recherche de perfection et la nécessité de préserver secrets et richesses. Durggeddin dans sa folie pris sur lui d’enfermer toute ses richesses dans une retraite réputée imprenable, sous la garde de toute sa maisonnée, dont peu se souviennent encore le nom et encore moins le funeste destin. car 200 ans ont passés et toute trace de cette histoire à disparu des livres d’histoire et rare sont les descendant du génial artisan gardant encore en mémoire quelques bribes de cette sombre histoire…




LA MALEDICTION DES DURGGEDDIN (Préquelle)

Certains aurons noté un changement dans l’intitulé de cette aventure. Qu’ils ne s’en inquiètent pas outre mesure. Comme c’est bien souvent le cas, tout cela n’est que vocabulaire, spéculation et superstition sans aucun doute. Toutefois un Durggeddin convaincu d'être maudit a de bonnes raison de l'être. Car malgré les prouesses accomplies et les qualités exceptionnelles supposées de feu leur ancêtre, le destin s’est montré bien cruel envers lui et ses descendants.

En effet, non content d’être aujourd’hui exilés bien loin des leurs et de leur patrie. D’avoir due s’établir dans une humble communauté humaine que d'aucun désignerait par le synonyme grivois du fondement de tout un chacun. Les caprices du destin, ou plutôt d'un dragon, firent qu'un de ces grand vers élise domicile dans le volcan voisin, qu’on appel depuis «la montagne qui gronde»… ou ronfle, selon qu’on possède le sens de l’humour ou pas. Difficile en effet de distinguer les grondement du domicile rocheux de ceux de son terrifiant habitant.

Autant vous dire que le reptile géant ne manqua pas de provoquer moult troubles dans la région, sans parler des pertes causés par les tentatives désatreuses destinées à le déloger et s'emparer de son hypothétique trésors. Cela eu pour conséquence de voir les environs déserté par les humains. Ce qui n’est pas bon pour les échanges commerciaux vous en conviendrez. Et se voir finalement envahir par une bien naïve communauté hobbit (mais il faudrait l'être tout autant pour être surpris d'un tel comportement de la part de ces créatures débonnaires) invitée à prendre possession des lieux, en remerciement de services rendu lors d’un précédent conflit, (tu parles d’un cadeau!) n'était pas fait pour rassurer les nains sur leur avenir.

Fort heureusement, les Durggeddin sont gens tenaces et les Hobbits bon voisins. Les petites gens s’accommodent donc plutôt bien ensemble. Peut être est-ce dû à leurs meilleures disposition et leur plus grande proximité avec les aspects merveilleux de notre monde. Mais force est de constater que facilité par leurs traditions commune de vivre dans des trous, contrairement aux grandes gens, Ils s’acclimatent très bien à l’endroit et ses conditions "particulières".

Cela fait quelques temps déjà que le "vol du dragon" se fait rare et depuis le terrible rugissement dont les échos ont retenti dans toute la vallée, il n’est pas reparu. La campagne coule enfin des jours paisibles. Ce qui profite à tous. Et l’on peu s’émouvoir devant l’innocent spectacle des enfants nains et hobbit jouant de concert… serait-ce la fin du cycle infernal de mauvaise fortune que souffre depuis trop longtemps les Durggeddin ?




CARTE DU VAL: "Sous-Colline" et son volcan "Gronde"








 CASTING de la campagne: 

NAINS de Sous-Colline

Le Vieux Maloche (PNJ) - Guerrier
La vieille Zigali (PNJ) - Scout

Les petit(e)s fillot(e)s de Durggeddin & Angraxa :
- Torgrin (Kevin) - Guerrier
- Rokurddin (Claude) - Guerrier
- Merriddin (Khloe) - Guerriere
- Marchaddin (Thunderjack) - Prêtre novice de Moradin

Nains ne descendants pas directement de la lignée Durggeddin:
- Piedtordu (Fix) - Scout
- Rulf (JC) - Autiste


Hobbit de Sous-Colline :

- Tizzy Montajou (Celine > Amandine) - Ranger
1ere adjointe du bailli Verteplaine et fille de la maire Gaillarde Montajou






PREQUELLE - PART 1 "Une visite inattendue":

Débriefe de la première séance:


"L'ombre sur La Muraille"

Tizzy Montajou, avait terminé sa patrouille idéale de la plus belle façon qui soit à ses yeux: Au sommet de la tour de guet. Elle pouvait y contempler en toute sécurité, dissimulée dans les frondaisons, toute la vallée dominée par la silhouette de son redoutable et légendaire volcan "Gronde", flanqué des ruines du vieux fort. D'ici rien dans la vallée ne pouvait vous échapper. Certainement pas quelques cavaliers s'en venant à Sous-colline par la grande route. Bien que la chose ne soit pas un évènement en soit. L'adjointe du Bailli se faisait un devoir d'être partout où son assistance pourrait être requise. Elle s'empressa donc de quitter son poste d'observation préféré et de prendre la direction du village. En coupant à travers bois elle devrait parvenir a Sous-colline avant eux...

Un profond sentiment d'insécurité envahit soudainement la gaillarde rodeuse. Non elle n'était pas sourde, la foret elle, était devenue muette ! Elle l'observait même... et cette expérience terrifiante, qui consiste à se sentir réduit à n'être qu'une insignifiante petite créature. La proie d'un prédateur capable d'effrayer même les plus gaies pinçons, ne lui inspirait qu'une seule chose... fuir ! Elle bondit tète baissée, pour ne laisser aucune chance à son incorrigible curiosité de la distraire. Fit irruption dans une clairière fraichement taillée où attendaient de pied ferme quelques nains mis en alerte eux aussi par les troubles de la forêt. A qui les instincts, contrairement à ceux de la petite Hobbit, avaient suggéré une attitude plus statique.

La présence de tous ces visages familiers, suffirent à convaincre Tizzy de mettre un terme à sa retraite stratégique. On s'interrogea sur ce qui aurait bien pu interrompre la quiétude du quotidien, mais on eu grand peine à trouver réponse satisfaisante. Le danger semblant écarté. Les Durggeddin, c'est ainsi qu'on désignait communément la communauté de nains résidant de longue date au village, conclurent eux aussi qu'il ne faisait pas bon traîner plus longtemps dans les parages et mirent fin à leur longue journée de labeur. Laissant sur place les bois taillé destinés à renforcer les galeries de la vieille mine. La petite troupe, sans omettre de s'abstenir d'entamer un chant de marche qui aurait été des plus inapproprié en de telles circonstances, s'enfonça prudemment dans la forêt. Descendit la pente douce des collines dites de "La Muraille" pour enfin croiser la route des 4 voyageurs aperçus plus avant par Tizzy.


"Les Cavaliers"

On échangea les politesses d'usage, avec le cavalier de tête, un homme rude au visage balafré et vêtu de cuirs usagés. Mais lorsque celui-ci sembla reconnaitre Maloche et fit mine de le saluer, le vieux nain s'empressa de l'ignorer et pris l'initiative de se présenter, le plus poliment qu'il pu, à celui que le blason désignait comme leur chef.
-le vieux Maloche: "bien l'bonjour mon seigneur ! que nous vaux l'honneur de votre visite ?"
-Sir Mansel de Paisseval : "Pour ta gouverne nain, les bonnes manières exigent qu'on salut son seigneur. Tu l'as fait. Je t'en félicite. Mais ne vous apprend t'on pas à rester à votre place dans vos trous et de vous mêler de vos affaires !"

C'est sur cette glaciale intervention que le Sir, coupa court et pressa sa monture. Ses compagnons de voyage ne se firent pas prier. Laissant là dubitatif, nos braves villageois. Brièvement, car seule pour tenir l'auberge, la vieille Zigali allait avoir besoin de renfort pour recevoir dignement le jeune seigneur et sa suite. La soirée risquait d'être longue mais la perspective des quelques bénéfices substantiels qu'ils tireraient de cette visite inattendue les remit vite d'entrain.


"La Guerrière"

Jusque la, le calme régnait a "la guerrière", la forge/auberge tenue par les nains de Sous-colline. La vieille Zigali n'avait aucun mal a s'occuper des quelques membres de la famille Talbot, de passage au village a l'occasion du mariage de Jacquot et Sassie et qui avaient décidé de prolonger leur séjour d'une nuit. Mais la venue impromptu d'un Prince et de sa garde rapproché s'avéra très vite une tout autre paire de manches.

D'abord. Le Sir, Sans gène aucune, réquisitionna la grande salle de l'auberge. Réduisant ainsi à la seule salle annexe jouxtant les cuisines, l'espace disponible pour accueillir les clients. Pris commande du gite et d'un bain chaud. Quand au couvert, le prince semblant peu gouter les recettes naines, ne put être satisfait qu'après l'intervention de Tizzy qui accommoda le plat du jour "façon hobbit".

A la surprise générale Rolf parvint a faire patienter sa seigneurie en faisant montre de quelques tours de passe-passe dont il a le secret. Pour le plus grand plaisir des hobbits qui commençaient a investir les lieux. En effet la nouvelle de la visite seigneuriale s'était propagée comme une trainée de poudre et nombre de villageois s'agglutinaient déjà autour du comptoir et formaient comme un publique improvise à ce repas "princier"

Alors que le Bailli, puis la maire furent mander par le prince et se virent infliger un tête à tête avec le prétentieux chevalier. On vit Albert Amster et ses apprentis, venir faire livraison d'Amsterbock. Celui-ci, en habile commerçant, s'empressa d'offrir une tournée générale. La première d'une longue série, comme il se doit dans ces cas la en terre hobbit. Tres vite l'assistance pris des allures de grand conseil. Toutes les grandes familles du village s'y trouvaient représentées et on dû improviser une "terrasse" dans la cours intérieure de l'auberge" pour accueillir tout ces turbulents hobbits,

Au couché du soleil on se démenait encore les uns en cuisine les autres a chauffer l'eau du bain. Quand à Piedtordu et Torgrin, coincés au comptoir, découvraient que l'humain balafré qui se prénommait Rorry. Se trouvait être le Veneur des Paisseval et accessoirement, d'après ses dires, l'unique rescapé du dernier assaut en date mené contre Syrreth, leur redoutable dragon vert de voisin.


Débriefe de la deuxième séance:

"Et bien messieurs, je doit avouer que je ne trépigne pas a l'idée de voir l'héritier hériter du seigneur son père !" déclara Verteplaine en rejoignant le bar ou s'étaient retrancher en bon ordre les nains s'échinant a remplir la foultitude de chopes vide qui y transitaient.

Le grisonnant bailli, en bon policier, s'était fait son opinion sur le jeune maitre. Il ne semblait pas bien méchant et qu'il n'ait encore battu personne jusque la, en constituait selon lui la preuve évidente. Il faut dire que tout le monde était au petit soins et personne ne s'était encore aventurer a contrarier le gentilhomme. Quand à ce fameux entretien. Rien d'inhabituel non plus au dire du représentant de la loi. Le Sir s'enquérait des nouvelles fraiches en son domaine, comme il sied à une personne de sa qualité. Toutefois Il semblait déçu qu'un autre "invite surprise" de son espèce, ne se trouve pas ici comme il s'y attendait. Lui et son escorte ne reprendraient donc la route pour Valvert, qu'a son arrivée probable dans la journée de demain.


"A propos de la légendaire ténacité Naine"

Le bain enfin prêt, Sir Paisseval pris congé. Très vite imité par le père Meligori. L'ambiance s'en trouva alors radicalement transformé. Comme par la divine intervention. Et c'est à la faveur de cette atmosphère soulagé de toutes tensions que Tizzy pris conscience, en les observant, combien ses trapus camarades n'avaient pas changés malgré les années. En effet, contrairement a ses congénères aux pieds velues et a fortiori aux grandes gens dont la croissance révélait couramment, disait-on, de bien surprenantes évolutions. Le tempérament de ses amis d'enfance, bien qu'affermis, présentaient les mêmes caractéristiques que ceux qu'ils affichaient dans leurs plus tendres années. Un peu comme si leur singularité avait été gravé dans la pierre originelle de leur matrice personnelle. Ce qui semblait corroborer avec la légendaire ténacité naine.

Ainsi, C'est Mirriddin qui, fière guerrière toujours aux affaires et a l'esprit militaire, s'aperçue la première que "l'ennemi" (les humains occupant la salle principale) s'étaient retiré et pris aussitôt l'initiative d'inviter les autres clients à occuper le "terrain" à présent libre. Et c'est Piedtordu, à l'esprit aussi vif que pratique et jamais a cours de ressources, qui n'eut aucune difficultés a révéler les faiblesses du projet que murissait le vieux Cireux, consistant a commercialiser des serrures "petits budgets" accessibles aux plus démunis.

Ainsi, elle l'appris plus tard. Le pieu Marcheddin, attaché aux convenances et au respect des traditions, avait subit un tel outrage a souffrir les manières autoritaires du noble qu'il n'avait su soulager ses nerfs qu'en vandalisant la suite qu'on avait mis a leur disposition. Et c'est à Rocurddin qui, malgré un certain penchant pour la nonchalance, était bien "brave", échut la responsabilité d'éviter le scandale. Ce qu'il fit sans même s'interroger sur l'auteur du sabotage. c'est également lui qui s'embarqua dans ce concours de beuverie provoqué par Rolf qui, malgré un vocabulaire limité avait toujours su quoi faire pour obtenir l'aide de ses congénères et n'eu aucun scrupule a lancer un défi qu'il savait ne pouvoir/vouloir relever. Enfin c'est Torgrin, loyal mais a la nature prudente, qui fut le premier a s'enthousiasmer pour ce concours. Sans toutefois y prendre part.


"Concours de beuverie"

Quand aux origines de ce fameux défit, l'alcool aidant, difficile d'être précis. Il commençait à faire tard, l'assemblée générale était depuis quelques temps déjà passer en conseil restreint. On suppose que le Veneur, un peu joueur, ne s'était pas privé de provoquer les courtaud hôtes de "La Guerrière" qui ne se firent pas prier. Le vétéran mis en jeu sa dague, une véritable œuvre d'art. Le vieux Chassieux, de la ferme voisine, suivis vaillamment a grand renfort de vaches. C'est alors que, voyant ses jeunes protégés en difficulté, le sang de Maloche ne fit qu'un tour. Tout imbibé qu'il était de la fameuse bière qu'il n'avait cesser de déguster de toute la soirée, il planta sa hache sur le comptoir. L'honneur des Durggeddins était en jeu ! Fort heureusement l'affrontement fut de courte durée et trois ou quatre tournées suffirent étonnement pour voir successivement l'humain et le hobbit verser leur précieux liquide a terre en tombant de leur chaise. L'on put rendre sa hache au vieux et Rolf fit une bien belle acquisition. Bref, ce lamentable épisode mit un terme a la soirée et chacun rejoignit comme il put sa couche.




PREQUELLE - PART 2

"Gueules de bois"

Lorsqu'il vint les réveiller au petit matin. Les jeunes habitants de "la Guerrière" purent constater que Maloche avait retrouver tous ses esprits. Il fit même très vite démonstration qu''il avait encore toute sa tête. Car si cette nuit la, nombreux furent les habitants de Sous-Colline a spéculer sur les motivations du jeune Paisseval. Le Maloche lui s'en foutait comme de sa première cuite. Mais s'il était une chose qu'il souhaitait éviter, c'est qu'un blanc-bec aux fréquentations douteuses aille faire le mariole dans ce qu'il considérait comme le tombeau de ses frères et soeurs défunts. Quoi qu'il s'y trouve ou qu'il s'y passe, ce ne pouvait être que mauvais !

Pour s'assurer que l'on ne vienne troubler la précieuse et fragile paix du val, il avait donc décider de garder personnellement les "grandes gens" a l'oeil. Aussi, confit-il a la jeunesse la tache de se charger de rafistoler la mine avec recommandation de se tenir en alerte et leur promis de les prévenir aussitôt qu'il le pourrait, en cas de pépin. En un rien de temps la petite troupe, bardé de fer et armé jusqu'aux dents, s'engageait déjà sur la route. Le vieux Maloche ressenti une certaine fiertée a les voir si enthousiaste et se dit qu'ils seraient bientôt prêt. Ils s'aperçut alors que, dans la précipitation, il avait une fois de plus oublié de leur dire ce qu'il était temps qu'ils apprennent. Il se promit de ne point y manquer à leur retour, qui sait, ce que réservait les heures à venir. 


"Sur la piste… d'une vache et de ses ravisseurs"

A peine avait-on dit au revoir au vieux, qu'on croisait la route du Bailli et de son adjointe, s'en venant de la ferme des lys. Les deux "gens d'armes" remontaient la piste de mystérieux voleurs de vache. Au moins trois humains et le fruit de leur larcin, semblaient être passés ici. Mais une des empruntes prenait la direction de Sous-Colline et les trois autres poursuivaient vers les collines boisées. Pas question de laisser un cambrioleur rôder dans le village. Si c'était le cas Verteplaine ne devrait avoir aucun mal à le débusquer. Et puisqu'il n'était pas fin pisteur, la charge de retrouver la pauvre bête et ses ravisseurs revint a la jeune Hobbit.


"A propos de la légendaire fidélité Naine"

En lisière de forêt la petite troupe croisa d'abord la route des jeunes Chassieux: Kepeli et Peddetry qui tout sourire, paniers au bras et chapeaux de paille sur le chef, partaient en cueillette. Non ils n'avaient pas vu ni de vache, ni d'humains. Mais il ne fallut pas longtemps à Tizzy pour découvrir comment avait fini l'animal. Dans le ventre de quelques mystérieux prédateurs manifestement, au vu de ce qu'il en restait. Les malandrins quand a eux s'étaient dispersés aux quatre vents. On pris donc la décision de suivre celui ou celle qui s'était enfuit en direction de la clairière toute proche, où on avait laisser le bois coupé la veille. Une fois sur place, Tizzy s'apprêtait à poursuivre seule sa mission, mais ses compagnons en avaient spontanément et unanimement décider autrement. Dans une parfaite colonne de marche ils se proposèrent donc de couvrir ses arrières. Elle mit ça, dans un coin de sa tête, sur le compte de la légendaire fidélité des nains.


"Une ruine occupée"

Lorsqu'enfin ils arrivèrent en vu de ce qui sembla être le repère des bandits. Une ruine que les locaux avaient déserté de longue date, en même temps qu'ils avaient abandonné le val aux Hobbits et au Dragon. La rôdeuse entreprit de procéder à sa façon, par une approche discrète. Mais le tintamarre des 6 nains "en mode furtif" qui la talonnaient de prêt lui fit prendre conscience que ses encombrants gardes du corps n'allaient pas briller dans cette exercice. Mais surtout, qu'elle n'avait aucune expérience quand au comportement des nains en de telles circonstances. Et puisqu'elle se trouvait être la seule représentante de la loi en ce lieu. C'est elle qui serait tenue responsable des désordres qu'ils pourraient causer...



... à suivre 

Pourquoi cette mention particulière?
Aurais je l 'habitude d 'oublier des choses?

Et bien Leglaude, Tout simplement parce que tu restais le seul à ne pas avoir eu accès à ces documents. Du fait de ton absence sur Facebook. Informations que je tenait à te faire partager.

Je te fait donc l'honneur de te dédier mon premier sujet !

j'en profite également pour te souhaiter bienvenue dans ce monde certe virtuel. Mais qui devrait s'avéré pratique. et pourquoi pas sympathique

papapapap même pas vrai....

Deuxième séance de débriefing en cours. Merci les copain(e)s pour votre bonne humeur et la super ambiance... bonne lecture à tous !  

p.s. Très chers camarades de jeu, a propos du DEBRIEFING : Sachez que je ne ce conçoit pas l'exercice que cosmétiquement. Je m'efforce à ce que la lecture en soit (pas dés)agréable et à ce qu'il contribue a approfondir le récit de vos aventures. Tout en enrichissant de détails et d'anecdotes notre expérience de jeu... n'hésitez pas à me suggérer quelques aménagements si vous le souhaitez. Enfin, comme c'est un travail fastidieux pour moi et un tantinet solitaire. Vos encouragements, a travers un "retour" pertinent ou impertinent sont les bienvenus !

C'est sympa, tu n'as rien oublié....enfin Claude va pouvoir suivre.... fini de se traîner le boulet de début de scenar pour le débriefing.... et il pourra plus dire... j'ai pas le droit de Facebook par ma femme, alors j'ai pas vu.